• Le vide. Voilà ce qu'il y a devant moi maintenant que tu n'est plus là. C'est bète de pleurer pour ça. Voilà ce que j'entends en permanence de la bouche des gens qui me voient, de mes amies. Peut être que pour eux c'est n'importe quoi mais moi j'ai perdus quelque chose de cher et je suis sur que je ne pourrais jamais le récupérer. Ce quelque chose tu le partage avec cette autre fille que tu garde comme un trophée. Et il n'y a que les secondes qui passent, passent, passent. J'entends encore les mots gravé sous ma peau. J'en ai froids dans le dos. Et sans cesse ce vide qui me glace, me glace.

     

     


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  • Ce dire sans cesse que sa vas aller, que je vais tenir le coup, que je ne vais pas pleurer le soir, que tu vas enfin comprendre. Le truc c'est que toi tu est toujours pareil avec moi, enfin je veux dire tu n'est pas méchant avec moi non loin de là. Je suis juste une camarade de classe pour toi, une fille effacer, insignifiante. 

    Toi tu est le gars que tout le monde aime, le mec sympas qui fait rire tout le monde, l'aimant. Alors je me dis que c'est inconsevable, que tous les deux c'est totalement impossible. Mais je ne peux pas t'enlever de ma tête, les regards que tu me lançais, les gestes tendres que tu m'adressais, tous sa reste ancré dans ma mémoire. Et en repensant a tous ces moments la je peut pas m'empecher de me demander ce qu'il c'est passer dans ta tête, ce que tu pense de moi. Je peux pas m'empecher de me demander si je dois ouvrir les yeux en ne faisant comme si il n'y avais rien eu ou attendre que tu réagise.

     

     

     

    Ouvrir les yeux

     

     

     

     

     

     


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  • Il dit qu'il s'inquiète, mais il n'y a aucune larmes dans ces yeux. Il me demande si je vais bien. Mec, est-tu aveugle ? Comme une balle, ton amour m'a frappé en plein coeur, je volais jusqu'à ce que tu me plaques contre le sol. Et c'est tellement stupide de ta part, de me donner envie d'avoir plus. Je cris au meurtier, comment peux-tu nous tuer ? J'appelle ça un meurte, aucun amour comme celui là n'est autorisé. Le coeur brisé c'est le cas, je veux le faire partir. Il est le seul à qui j'ai donné le meilleur de moi-même. 


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  • L'hiver s'installe doucement dans la nuit. Le vent qui hurle en moi ne pense plus à demain. Il est bien trop fort, j'ai lutter en vain. Cache tes sentiments, n'en parle pas, fait attention, le secret survivra. Pas d'état d'âme, pas de tourments, de sentiments.

    Libérée, délivrée, je ne mentirais plus jamais. Libérée, délivrée, c'est décider je m'en vais. J'ai laisser trop de sentiments envahir mon âme pour toi, perdus dans l'hiver.

    Quand ont prends de la hauteur, tous semble insignifiant. La tristesse, l'angoisse et la peur m'ont quitter depuis longtemps. Je veux voir ce que je peux faire sans toi, le bien le mal je m'en contre fiche. 

    Libérée, délivrée, les étoiles me tendent les bras. Libérée, délivrée, non je ne pleure pas. Me voilà, oui je suis là, peut être un peu changer, perdus dans l'hiver. 

    Peut être que mon amour pour toi vient du ciel et envahit l'espace, peut être que mes pensées sont des fleurs de cristal gelées. Mais tu peut être sur que je ne reviendrais pas, le passé est passer.

    Libérée, délivrée, désormais plus rien ne m'arrête. Libérée, délivrée, plus de fille parfaite. Je suis là, comme je l'ai rêver. Perdus dans l'hiver.

     


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